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Le lait maternel constitue la meilleure base pour le développement ultérieur de votre bébé et de son système immunitaire. Découvrez ici le rôle essentiel des oligosaccharides du lait humain (HMO) pour rendre le lait maternel si unique.
Le lait maternel est un miracle. Il contient de nombreux nutriments différents ainsi que des liaisons bioactives qui, combinées, contribuent à favoriser la meilleure croissance possible ainsi qu’un bon développement intestinal et cérébral de votre bébé et à renforcer son système immunitaire.
Certains de ces composants sont les oligosaccharides du lait humain (HMO). Nous expliquons ci-après ce que sont exactement les HMO et quel est leur rôle clé dans l’alimentation de votre bébé qui grandit.
Les HMO sont des glucides naturellement présents dans le lait maternel. Ils constituent le troisième composant solide le plus important du lait maternel après le lactose et les matières grasses. Un litre de lait maternel compte ainsi entre 12 et 15 g de HMO1,2.
Le lait maternel inclut au total plus de 200 structures HMO connues3, les différentes structures assumant différentes fonctions. Lorsqu’elles sont combinées, les HMO permettent à votre bébé de construire un système immunitaire sain par le biais des intestins4,5,6.
Effet prébiotique:
Les HMO parviennent au côlon sans être digérés par le tractus intestinal, où ils encouragent la croissance et l’activité de bactéries utiles. Une flore intestinale bien équilibrée est la clé pour le bon développement et la fonction immunitaire de votre bébé1,2.
Impact direct sur les cellules immunitaires:
Il a été démontré que les HMO avaient un impact direct sur le système immunitaire et qu’ils aidaient les cellules immunitaires à agir de manière adaptée aux substances extérieures comme les agents pathogènes1,2.
Soutien du système immunitaire par les intestins:
Les HMO bloquent la voie d’infection en empêchant les agents pathogènes d’accéder à l’organisme et en les attaquant1,2.
1 Bode L, Glycobiology, 2012; 22(9):1147-62.
2 Bode L, Jantscher-Krenn E, Adv Nutr, 2012; 3: 383S–391S.
3 Thurl S, et al. Nutr Rev. 2017; 75(11):920-33.
4 Ayechu-Muruzabal V, et al. Front Pediatr, 2018; 6:239.
5Martin R, et al. Benef Microbes. 2010;1(4):367-82.
6Wopereis H, et al. Pediatr Allergy Immunol, 2014; 25(5):428-3.
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